Le mardi 21 Janvier 2021, le procès de l’ancien président des Etats Unis a été ouvert de façon officielle dans les locaux du Capitole. Ce procès tient surtout lieu de sa destitution parce que Donald Trump aurait demandé à un citoyen Ukrainien de rapporter les faits et gestes en rapport à la vie de Joe Biden et de son fils. Cet appel téléphonique qui a fait le tour de l’Amérique et du monde est ce qui aujourd’hui a causé plus de peine que de tort.
Retour sur les faits justifiant de la destitution de Biden
C’est après la prestation de serment de Joe Biden et sa prise de fonction que les actes d’accusations ont été transmis à Trump pour répondre des atrocités qui lui sont reprochées et de l’ingérence dans la vie privée de potentiel candidat. S’il se croit toujours dans une série américaine où la fin heureuse est pour le président, il est temps pour lui de sortir de son profond sommeil.
Parce qu’en fait, les 100 sénateurs qui ont prêté serment, ne feront pas la même erreur que la majorité des républicains qui présents dans le congrès lui accordent une immunité totale. Se penchant sur 111 pages d’un dossier faisant mention de preuves accablantes, le sénat réuni décidera du sort de Trump lors d’un troisième procès de destitution dans l’histoire de l’Amérique.
Le mois de Février : entre mois de l’amour et ballade des avocats
Après réception de l’acte de mise en accusation, le congrès a décidé ce 21 Janvier de reporter le procès de Trump dans la première quinzaine du mois de Février. Voilà qui complique du coup l’agenda de notre président démocratiquement élu.
Dans le même temps, le congrès pourra se pencher durant ces deux semaines sur les membres du gouvernement de Biden et procéder à leur validation. Chuck Schumer rappelle toutefois qu’« une fois les dossiers rédigés, l’exposé par les parties commencera la semaine du 8 février ». Il aurait confié à ses collègues que l’acte de mise en accusation « serait transmis au Sénat lundi ».