Le coronavirus a tout de même permis à redonner ses lettres de noblesse à la science. En effet, cette dernière avait subi de nombreux bafouements par plusieurs dirigeants en vue de mieux satisfaire leurs programmes politiques. Il ne fait aucun doute qu’avoir élu un président climatosceptique aura coûté très cher aux États-Unis, et cela, à plusieurs égards.
Tant de dégâts enregistrés par les USA
Antivaccin, l’ex-président des états unis a sabré plusieurs budgets de recherche. Il avait également multiplié de fausses déclarations concernant la science et l’environnement. Par-dessus tout, il avait également nié la pandémie et n’a donc pas agit en conséquence pour endiguer la flambée de cas observée aux États-Unis. Figurez-vous qu’une personne décède de la COVID-19 environ toutes les 26 secondes aux USA actuellement. La situation est alarmante !
Le nombre de morts enregistrés se chiffre à plus de 400 000 et a d’ailleurs dépassé celui enregistré pendant la Seconde Guerre mondiale. Les théories de complotistes s’enchaînent, mais elles présentent des limites lorsque la réalité les rattrape. De ce fait, les charlatans sont remis à leurs places publiquement et la science reprend son pouvoir. Toutefois, les dégâts n’en restent pas moins colossaux, d’autant plus que ces théories de saugrenues ont été défendues par un président américain. Bien évidemment, celles-ci ne se limitent pas aux États-Unis.
Grand soulagement pour le monde
Heureusement, le soupir de soulagement était d’autant plus énorme cette semaine. Car, le nouveau président, Joe Biden a signé une dizaine de décrets ayant rapport à la lutte contre la COVID-19. Il convient d’avouer que les décisions prises jusqu’aujourd’hui sont la preuve formelle que Biden à l’intention de redonner à la science ses lettres de noblesse. En outre, la situation vient surtout rappeler aux autres dirigeants, comme ceux des pays en voie d’émergence, l’importance de mettre la science au cœur des décisions. Effectivement, beaucoup ont compris à quel point il est important d’investir dans la recherche scientifique. Il n’est pas abusé de dire qu’il en va clairement de la protection de la démocratie.